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Bienvenue aux Roses Noires... Refuge pour créature hors normes...
 
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 Histoire

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Chris
Admin - Élève
Chris


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Localisation : En général, sur les genoux d'un professeur. Lequel ?!
Date d'inscription : 26/06/2006

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MessageSujet: Histoire   Histoire EmptyLun 1 Jan - 19:36

Tentative : (ceci est un premier jeeet ^^')


C’est tout d’abord l’histoire d’un monde. Un monde comme le nôtre, peut-être le même, à vrai dire, à une époque pas très différente non plus, ou juste un peu…
Dans ce monde, ce joli monde, il y avait de la vie. Il y avait des hommes, il y avait des femmes, même des enfants, il me semble. L’équilibre tenait à peu près le coup. Il y avait des petites guerres, entre certaines petites contrées, mais rien de bien méchant, disait-on.
Pour ce petit rien, pourtant, on cherchait à se faire plus fort, plus grand, chaque petit pays souhaitait proliférer et assurer son hégémonie sans avoir à n’en craindre aucun autre. Pour ce petit rien, les hommes, parfois les femmes, mais rarement les enfants, voulaient se voir dominer les autres, ceux qui ne leur ressemblaient pas, ou tout du moins pas assez.
C’est ainsi que fonctionne la guerre, et il en sera toujours ainsi.
Belle morale, non ?
De ce fait, on cherchait à affirmer sa noblesse, sa grandeur, ses mérites… quand mérites il y avait, afin d’étendre son influence autour de soi. Mais bientôt, cela ne fut plus suffisant. Bientôt, dépasser les autres par sa culture ne suffisait plus, il fallait les dépasser par sa force, non, il ne fallait même plus les dépasser.
Il fallait éradiquer.
Dans cette optique, on chercha. Des armes, tout d’abord. Des armes blanches, de plus en plus perfectionnées. Puis on souhaita détruire. Les armes connurent de nouvelles améliorations, elles brûlaient, abattaient, rasaient.
Mais, aussi horrible que cela puisse paraître, ça ne suffisait pas. Ce n’était pas assez rapide, pas assez ‘radical’. On chercha un moyen de supprimer, de polluer, de désintégrer une population en quelques instants. On pourrait songer à l’effroyable pouvoir nucléaire, mais on ne mit alors pas la main dessus. La solution trouvée était différente, plus discrète, plus pernicieuse, …pire ? Peut-être, peut-être pas.
On tentait d’élaborer un gaz, une essence, un produit capable de contenir un gène terriblement destructeur, et doté de la capacité de se répandre à une allure terrifiante. Une fois implanté, les cellules produites s’incrustaient dans l’organisme du sujet, détruisant les autres au fur et à mesure de leur progression, produisant dans un premier lieu de discrètes carences, puis des dysfonctionnements parmi les organes internes, et enfin une mort douloureuse, parfois précédée d’une paralysie totale ou partielle.
Ce que l’on n’imaginait alors pas, et que l’on réalisa bien assez vite, quand les dégâts se trouvèrent bien irréparables, c’est que ces petites cellules ne s’arrêtèrent pas là. Non, non, les adorables bêtes, en plus de détruire leurs congénères, en produisaient de nouvelles. Modifiées, bien entendu, indépendantes, et porteuses de lourdes conséquences pour les corps touchés. Mutations physiques, parfois psychologiques, psychiques ou encore de nature difficilement identifiables, de là vinrent peut-être –assurément ?- les illustres cracheurs de feu, vampires qui proliférèrent alors de par le monde, alors que parfois, quelques capacités animales se voyaient même attribuées à des êtres humains.
Face à une diffusion si rapide du virus, alors surnommé la déferlante rouge, les autorités mirent en œuvre tous les moyens alors disponibles pour faire cesser sa propagation, mais le mal était fait. Bien que tout individu non touché se voyait vacciné afin d’éviter le moindre risque, les victimes de ce gène n’étaient pas soignables.
La période qui suivit fut témoin de très nombreuses morts : en effet, mutants ou non, les êtres atteints demeuraient toujours humains, avec toutes les faiblesses que cela implique. Certains, incapable de maîtriser leurs pouvoirs trop « nouveaux » pour eux, d’autres, incapables d’assumer de telles différences, s’autodétruisirent avec une rapidité, une fougue difficilement imaginables.
Ainsi, le virus s’éradiquait par lui-même, et se fit peu à peu oublier, en quelques dizaines d’années.
Cependant, des cas subsistaient toujours, certains connaissaient encore le fléau de cette malédiction, ainsi qu’elle était nommée, et nul ne faisait rien pour améliorer leurs conditions.
Ignorés, rejetés, symboles d’une trop grande haine, ainsi que de la folie destructrice des hommes, ces victimes, mutants ou créatures, en étaient amenées à errer sans grand espoir d’une vie meilleure, à se cacher pour ne pas s’attirer les foudres d’autrui.
Face à tant de mépris, quelques uns seulement furent touchés, et décidèrent de réagir ensemble pour apporter leur soutien, leur protection peut-être, aux quelques mutants qui le souhaitaient, et qui étaient bien souvent des enfants, voire adolescents –l’espérance de vie d’un mutant étant très, très réduite. Echappant aux principes de leur nation, véritablement considérés en judas, on leur attribua le nom de Roses Noires. Avec ironie, et, admettons-le, un soupçon de provocation, ils donnèrent ce nom au Pensionnat qu’ils créèrent, fondé par l’un d’entre eux, leur « leader », dont l’histoire ne voulut pas retenir le nom.
Ainsi, quelques années après cela, l’établissement grandit en notoriété et fut même toléré par les dirigeants actuels –‘accepté’ étant un trop grand mot. Il accueille à ce jour encore nombre de pensionnaires, dans des états et situations aussi complexes que variables, leur offrant un toit, une vie et une ‘grande famille’, là où tous les autres les avaient rejetés, alors qu’on raconte qu’aujourd’hui encore, le fondateur d’une telle paisibilité réside au cœur même du pensionnat…



Alors, ma chtouille de moi, on laisse tel quel, on modifie, on efface tout et on recommence, ?? nyu ? (c'est pas trop long ? ^^')
(et faut que je change ma signature moi)
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